Rencontre littéraire avec un de ses camarade de chambre [PV Karot]

Karot se souvenait à quel point il avait été étonné le jour où il avait découvert ses pouvoirs de soins, cela s'était passé d'une manière des plus attendrissantes ou plutôt... La situation avait été aussi attendrissante qu'emplie de désespoir à la base, comment expliquer cela de manière à être compréhensible ? Ah, j'ai trouvé ! Il suffit de vous raconter l'histoire en question. Karot était encore très jeune, il ne serait pas capable de dire exactement à quel âge mais son père aurait sûrement pu lui. Alors qu'il était dans la forêt en train de s'entraîner, un chasseur avait tiré sur un aigle royal qui agonisait sur le sol et... Le jeune Mahôtsukai était très proche des animaux de la nature et d'autant plus des aigles qui représentaient quelque chose de très important pour lui. Vous comprenez tout le désespoir que ressentait le jeune garçon devant ce spectacle n'est-ce pas ? Eh bien, laissez-moi maintenant vous donner le côté attendrissant et même magique, au sens propre d'ailleurs, de la situation. C'était en pleurant sur le corps de l'aigle royal que Karot avait réussit à totalement soigner ce dernier et lui permettre de voler à nouveau... Maintenant qu'il y repensait, il avait totalement oublié que ses larmes étaient l'un des meilleurs remèdes qu'il avait en sa possession et qui pouvait lui permettre de soigner beaucoup de choses. Mais c'était tellement compliqué...

En attendant, le terrain aussi avait été quelque peu endommagé par le combat et jusqu'à preuve du contraire, le jeune homme n'était pas capable de réparer un terrain comme il pouvait réparer les cellules humaines grâce à ses pouvoirs de soins. Et puis, il venait à peine de le remarquer maintenant qu'il n'était plus dans le combat, et oui... Le combat l'avait tellement captivé qu'il en avait oublié l'environnement extérieur, si cela n'avait pas été le cas, il se serait peut-être un peu retenu mais bon... Ce n'était pas comme si il s'était contrôlé lors de ce combat, il ne pouvait pas de toute façon, il avait été trop excité durant ce dernier qui avait été palpitant, réellement. Bref, la période où il combattait, autrement dit quelques minutes plus tôt, était belle et bien révolue pour le moment. Ils n'étaient plus adversaires mais ils étaient redevenus des amis sans aucune animosité l'un pour l'autre. D'ailleurs, même durant le combat il n'y avait pas eu une once d'animosité, ils s'étaient juste tous deux comportés comme de véritables combattants et avaient fait honneur à la signification de ce mot... Et puis, il ne fallait pas oublier une chose, ne pas combattre quelqu'un sérieusement était un total manque de respect envers la personne en question. C'était le père de Karot qui lui avait appris cela de nombreuses années auparavant.

Le jeune Karot avait proposé à Ryusuke d'aller manger un morceau et ce n'était pas totalement innocent pour vous dire la vérité... Il avait proposé cela car il était lui-même mort de faim, c'était un peu normal quand on voyait à quel point il s'était dépensé lors du combat qu'il avait eu avec son jeune ami... C'était quelque chose de parfaitement logique ne pensez-vous pas ? C'était la preuve que le combat avait été des plus intenses et donc que cela avait été un combat magnifique sous toutes les formes. Le jeune homme mangeait beaucoup de nature, il était gourmand si vous préférez et il ne l'avait de toute façon jamais nié, depuis qu'il était tout jeune et... Cela lui avait d'ailleurs souvent valu quelques petites réflexions taquines mais rarement méchantes, pour ne pas dire jamais méchantes. Il se souvenait qu'il prenait souvent plusieurs fois du même plat et il prenait pourtant une entrée, un plat principal et un dessert, tous très consistants qui plus est. C'était peut-être dû au fait qu'il s'entraînait tous les matins de manière réellement intensive ? Il ne savait pas vraiment, il était presque sûr qu'il y avait de ça mais il était aussi convaincu qu'il n'y avait pas que ça... Une partie venait sûrement de son organisme, il était fait comme ça et il n'y avait pas vraiment d'explications à y donner. Voilà tout, fin de l'histoire.

De toute évidence, le ventre ou plutôt l'estomac de Ryusuke était d'accord avec Karot, ou plutôt avec sa proposition d'aller manger. Comment le jeune homme pouvait-il le savoir ? Disons que le ventre de son ami s'était plutôt bien exprimé et de manière bien audible si vous voyez ce que je veux dire, c'était d'ailleurs assez marrant à entendre. Rigoler fut alors de mise mais attention, ce n'était pas le genre de rires qu'on entendait lorsqu'il y avait de la moquerie ou quelque chose du genre hein, c'était un rire des plus amicaux et reflétant toute la bonne humeur et la complicité qu'il y avait déjà entre les deux individus... Pourtant cela ne faisait même pas une journée qu'ils se connaissaient l'un et l'autre. Alors, puisque les deux jeunes personnes étaient d'accord sur ce qu'ils allaient faire, il ne restait plus qu'à le faire, cela ne vous paraît-il pas logique ? Alors ce fut ce qu'ils firent. Ils se dirigèrent vers la cafétéria où la restauratrice si on pouvait l'appeler ainsi leur fit des plats sur mesure, elle avait vu le combat et disait qu'ils le méritaient bien et puis... Elle connaissait plutôt bien Karot à force et elle savait que niveau appétit, il n'était pas quelqu'un possédant un petit estomac bien au contraire. Avant de manger, Karot dit bien entendu le Itadakimasu traditionnel et prit une première bouchée, exquise il devait l'avouer. Il souriait, comme toujours quoi.

"Ca me fait vraiment plaisir de t'avoir en tant qu'ami, tu as énormément de qualités je trouve. Peut-être après ce repas voudrais-tu faire quelque chose de particulier ? Ou peut-être que tu voudrais te reposer ? Ce serait compréhensible aussi."

[RP clos ou tu comptes répondre Ryu-kun ?]

Direction la cafétéria ! Le chemin vers cette dernière n'était pourtant pas loin, mais la distance qui la séparait de leur champs de ruine avait paru une éternité, mais pourtant il avait finit par y arriver et forte heureusement car mon estomacs aurait surement dépéris où quelque chose comme sa. Mais maintenant parlons de la dite cafétéria, la plus quand que je n'avais jamais vu. Il me semblait que l'espace était assez grande pour offrir une table à chaque élève de l'Académie, ce qui en soit était très impressionnant car avec le nombre de personnes qui résidait en ces lieux on aurait réussi a surcharger n'importe qu'elle autre réfectoire. De plus je n'avais jamais sentis d'odeur aussi imposante, comme si des éfluve de la cuisine de beaucoup, non de tout les pays avait été réunis dans une seul et même pièce.

Aucun mots n'aurai pus exprimer mes premiers instant dans ce lieux hormis bien sur mon estomacs qui redoublais d'effort pour m'emmener a avant ingurgité quelque chose, la serveuse une dame bien gentille devait connaitre mon ami ou alors elle avait vu notre combat car elle nous proposa d'énorme plats qui ont bien sur finit dans nos assiettes.

Une fois assis et après avoir prononcer l'itadakimadu traditionnel, je commença à manger de bon coeur, tout les plats était comme on pouvait l'attendre de ce lieux vraiment délicieux, mon estomacs semblait venir de signer le traité de paix, enfin jusqu'aux prochain moment où j'aurai faim. Mon amis me demandait où je voulais aller, levant les yeux en l'air je commençais à réfléchir, j'avais déjà visité toute l'académie ... et j'avait envie d'aller voir les alentours, trouver un lieux pour se reposer et ce la couler douce après ce combat.

- Et bien tu pourrait me faire visiter la ville et on trouverais un endroits pour ce la couler douce ?

Direction la ville !

Vous vous demandez à quel point la cafétéria était imposante ? Eh bien, il serait plutôt difficile de vous donner une réponse exacte étant donné qu'elle était véritablement immense et qu'il était à la hauteur de tout le reste du complexe impressionnant qu'était celui de l'Académie Fumizuki créée pour les personnes comme Ryusuke, Karot et toutes les personnes qui seraient rejetés dans le monde normal si on avait connaissance de leur réelle nature. Mais passons, la discrimination dont faisaient preuve tous les résidents de Fumizuki n'était pas le sujet qui était à l'ordre du jour, lorsqu'on avait faim... Ce n'était pas vraiment le genre de choses auxquelles on pensait en priorité si vous voyez ce que je veux dire et je suis sûr que vous le voyez très bien si je puis me permettre. N'est-ce pas ? Et bien entendu, il était inutile de parler de la diversité qui était présente à Fumizuki ne serait-ce qu'au niveau des types de personnes qui y vivaient. On pouvait trouver des Japonais comme on pouvait trouver des européens, des américains et même si cela était un peu plus rare pour diverses raisons des africains et autres personnes de l'Océanie. Il n'y avait pas à dire, Fumizuki était sûrement l'Académie qui rassemblait la plus grande variété de personnes différentes et ce n'était pas du tout exagéré je peux vous l'assurer.

Quoi qu'il en soit, manger n'était pas la seule chose qu'ils avaient faite dans cette grande cafétéria ou cantine comme l'appelaient certains. Il y avait souvent des bagarres à une certaine période dans celle-ci, notamment entre divers extrémistes et les Yatsu, les uns ne supportant pas les autres et les détestant même complètement pour des raisons totalement stupide. Ils faisaient de la discrimination au sein de l'Académie alors que tous les membres de l'Académie étaient eux-mêmes victimes de discrimination par rapport aux personnes de l'extérieur. Vous ne trouvez pas que c'était d'une stupidité sans limites que de faire les choses qu'on ne supportait pas qu'on nous fasse ? Certains auraient dit que c'était dans la nature humaine mais... Ils n'étaient même pas forcément humain, il pouvait faire partie de la race animale, être des élémentaires ou même des humains avec des pouvoirs hors du commun mais... Quoi qu'ils adviennent, aux yeux de ceux qui étaient des humains, ils n'étaient pas des humains alors... Pourquoi étaient-ils aussi stupides qu'eux ? Karot savait qu'il y avait des similitudes entre eux car, même si ces derniers ne voulaient pas les accepter, les humains et les membres de Fumizuki n'étaient pas si différents que ça en définitif. Mais à quoi bon se dire tout cela, la vérité était illusoire après tout.

Lui faire visiter la ville hein ? C'est vrai que c'était quelque chose qui pouvait s'avérer assez intéressant après lui avoir fait visiter de manière intégrale l'Académie. Et puis, il connaissait des petits coins de la ville dont personne n'avait idée mais il valait mieux que vous autres ne sachiez pas de quoi il s'agit, pour le moment en tout cas. De toute manière, ce n'était pas des coins où on pouvait accéder à n'importe quel moment. Il y avait des règles bien précises pour accéder à certains lieux et je pense que vous vous en doutez un minimum de tout de même. La preuve, on ne pouvait entrer en boite de nuit que la nuit et à partir de 18 ans, en théorie, n'est-ce pas ? Mais n'ayez aucune inquiétude, ce n'était en rien des lieux dangereux, ou en tout cas pas de l'avis de Karot mais que voulez-vous... On avait pas forcément tous la même idée et définition du mot dangereux, c'était parfaitement normal puisque chacun était unique mais passons. L'avantage des deux hommes qui étaient des Mahôtsukai, c'était qu'ils faisaient parti des personnes de Fumizuki qui se fondaient le mieux dans la société humaine. Bien que la plupart des races de Fumizuki avaient énormément de facultés de dissimulation, cela en était même impressionnant parfois. Enfin bref, le jeune homme avait fini de manger, complètement et il sourit alors.

"C'est une très bonne idée, alors on y va ? Je connais très bien la ville en plus."

» La chambre de Karot (PV Karot + un garçon)
» Mon autre camarade de chambre [PV Haiiro]
» Demande de Chambre de Karot Dragon
» " I know this pain has gone to far... " [Pv: Karot]
» Le sport et les garçons (PV Karot)